Pour diviser par deux les pesticides d’ici 2030, accélérer la mise sur le marché des nouveaux produits utilisant des mécanismes naturels (biocontrôle) et les nouvelles techniques génomiques.
Nous avons soutenu le règlement sur l'utilisation durable des pesticides, réforme malheureusement rejetée par la droite et l'extrême droite au Parlement européen. Si nous voulons assurer une concurrence équitable entre les agriculteurs européens, nous devons porter les objectifs ambitieux fixés en matière de réduction des pesticides au niveau européen.
Nous continuerons ainsi de porter l’extension à tous les États membres de l’objectif de réduction de 50 % des pesticides d’ici 2030, objectif réaffirmé par le Gouvernement français dans la révision de la stratégie ecophyto.
Nous soutiendrons également l’accélération de la mise sur le marché de nouveaux produits utilisant des mécanismes naturels (biocontrôle) et les nouvelles techniques génomiques, qui permettront d'aider les agriculteurs à réduire l’utilisation des pesticides chimiques.
Mettre en œuvre un “Pacte bleu”. Comme la France, l’Europe doit s’opposer à toute exploitation minière des grands fonds marins et viser la fin des plastiques inutiles et nocifs, et 100% de plastique recyclable contre 15% aujourd’hui.
L'instauration d'un Pacte bleu permettra d'apporter une réponse globale au niveau européen pour mieux protéger nos espaces marins et nos pêcheurs tout en assurant la pérennité des ressources maritimes et halieutiques.
Nous souhaitons poursuivre la révolution écologique européenne engagée avec le Pacte Vert en accélérant la décarbonation du transport maritime et en luttant plus efficacement contre la pollution plastique des océans, avec un objectif 0 nouveau plastique et 100% de plastique recyclable. Ce Pacte bleu permettra également de généraliser à toute l'Union européenne l'engagement français de refuser l'exploitation minière des fonds marins.
Dans le cadre d’une stratégie d’adaptation aux chocs climatiques, doubler les moyens de la Force européenne de protection civile, y compris en Canadairs. Elle a fait ses preuves face aux récentes catastrophes naturelles.
Nous porterons une stratégie européenne d’adaptation et de résilience qui s’appuiera sur une force européenne permanente de protection civile, dotée de moyens techniques terrestres et aériens renforcés, notamment avec le doublement du nombre de canadairs pour lutter plus efficacement contre les incendies.
Cette action coordonnée à l'échelle européenne nous permettra de mieux nous adapter au risque accru d'inondations, de périodes de sécheresse persistantes et à la multiplication des incendies de forêts provoqués par le changement climatique.
Étendre la taxe carbone aux frontières à de nouveaux secteurs, comme l’automobile. À partir de 2026, le ciment ou l’acier importés, très polluants, seront taxés.
La France a été à l'initiative de la mise en place d’un Mécanisme d'Ajustement Carbone aux Frontières, dite « taxe carbone », pour protéger nos industries européennes et leurs salariés d'une forme de dumping social et d'une concurrence déloyale.
Dans ce cadre, les entreprises européennes doivent déclarer depuis le 1er octobre 2023 leurs importations de matières premières les plus polluantes (ciment, fer, acier, aluminium) dans leur processus de production, afin de permettre l'application dès 2026 de la taxe carbone aux frontières.
Nous soutiendrons l’extension de la “taxe carbone aux frontières” à de nouveaux secteurs en incluant les produits manufacturés, notamment dans le secteur automobile. Cela permettra de protéger les consommateurs mais aussi nos industries qui peuvent être victimes d'une concurrence déloyale, les concurrents internationaux étant contraints de baisser leurs émissions de CO2 pour ne pas se priver du marché européen.
Interdiction des fermes-usines de chiots et chatons et des maltraitances (ablation des queues et des cordes vocales) ; respect de nos règles de bien-être pour les animaux en provenance de pays tiers.
Il est indispensable, pour l'Europe, de veiller à ce que les règles et les normes concernant la protection des animaux sur son territoire soient claires. Nous devons renforcer nos contrôles afin de lutter contre les mauvaises pratiques et éradiquer les dérives. Nous devons accorder une attention particulière au commerce de plus en plus courant des nouveaux animaux de compagnie (NAC).
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