Après avoir préservé le budget de la Politique Agricole Commune pour nos agriculteurs, simplifier les procédures et uniformiser les contrôles entre pays européens.
La Politique Agricole Commune (PAC), en venant en soutien à nos agriculteurs, est essentielle pour garantir notre souveraineté alimentaire et la durabilité de notre agriculture européenne. C'est la raison pour laquelle nous avons conforté son budget.
Afin qu'elle garantisse des revenus stables et décents à nos agriculteurs, qu'elle soutienne la transition écologique et qu'elle protège nos agriculteurs de la concurrence déloyale, nous souhaitons néanmoins la réformer afin d'orienter les aides vers les nouvelles générations d'agriculteurs et vers les pratiques plus respectueuses de l'environnement.
Nous simplifierons les procédures administratives et harmoniserons les normes.
Adopter un Egalim européen pour compléter la loi française et assurer des revenus dignes à nos agriculteurs.
Les agriculteurs se voient régulièrement imposer des prix par les grandes coopératives en deçà des coûts réels de production, empêchant une juste rémunération de leur travail.
Il s'agit d'un moyen efficace de lutter contre la concurrence déloyale et de rémunérer les producteurs à la juste valeur de leur travail.
Adopter la « préférence locale » et privilégier les circuits courts et les produits locaux en faisant évoluer les règles des marchés publics.
Le travail de nos agriculteurs est reconnu à travers le monde pour leur savoir faire et la qualité de leurs produits. La préférence locale s'inscrit dans un double objectif : soutenir un secteur stratégique d'excellence et faire bénéficier les européens d'une alimentation plus saine et durable.
Nous devons amener les entités publiques telles que les écoles ou les hôpitaux à favoriser les produits locaux dans leur offre alimentaire. Pour soutenir les collectivités, nous les accompagnerons financièrement.
Assurer le maintien des licences de pêche françaises et européennes pour l’accès aux eaux britanniques, lors de la renégociation des accords du Brexit.
Suite au Brexit, les pécheurs français et européens doivent obtenir des licences pour pénétrer et pêcher dans les eaux britanniques. Le Royaume-Uni a déjà instrumentalisé ces processus administratifs dans le passé mais la mobilisation du gouvernement a permis de créer un front européen et d’obtenir des licences pour la quasi-totalité des navires.
Ces accords et ces licences devront être renégociés et nous nous engageons à œuvrer pour maintenir les licences de pêche françaises et européennes.
Derrière chaque action locale, chaque événement, chaque tract et affiche de campagne produit, il y a vos dons.
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